Vous connaissez les haïkus? Ces poèmes japonais qui, en plus de leur beauté, ont la caractéristique de compter un nombre de mores (syllabes) fixe?

Voici un des plus beaux exemples de Matsuo Bashō :

古池や 
蛙飛込む
水の音

En français :

«  Un vieil étang
Une grenouille qui plonge,
Le bruit de l’eau.  »

Le haïku du polar, ça sonne bien, non?

Ces écrits aux règles très précises et fixées à l’avance me trottent dans le tête depuis de longues années. Et si je me lançais moi dans l’écriture pré-calibrée me glissant dans le sillon des haïkus? Les contraintes que cela impose m’enfermeraient-elles ou, tout au contraire, me forceraient-elles à être plus créatif? Et puis, cette idée s’adapterait-elle à mes écrits, mâtinés tantôt de polar, d’autre fois d’anticipation ou encore d’effluves horrifiques?

C’est ce que je vous propose de découvrir avec moi dans la collection de nouvelles que je m’apprête à lancer.

Son nom?

TERRY STORIES.

Elles feront maximum 3000 mots, pas un de plus.  Cela correspond à environ dix minutes de lecture. Assez pour se plonger dans une atmosphère et être saisi par l’histoire.

J’y explorerai des thèmes qui me sont chers, les errements du progrès technologique, la quête d’identité des hommes, le prix de nos décisions, bref de nombreuses idées qui prennent vie dans mes romans et que j’essaierai d’éclairer d’un nouveau jour dans les TERRY Stories.

Aiguilloné?

Alors attachez votre ceinture, c’est parti. 

Je veux recevoir le premier épisode des TERRY STORIES (gratuitement évidemment)